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Malgré la volonté de rassurer son réseau et ses clients suite aux annonces de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi fin mai, le plus petit des trois constructeurs pourrait bien quitter pour de bon l’Europe dans un avenir assez proche.

Fin mai, Renault-Nissan-Mitsubishi ont beau avoir tout fait pour présenter une stratégie finement calibrée pour les prochaines années, on ne peut s’empêcher de douter. Non pas de la solidité de l’Alliance à moyen ou long terme, mais des conséquences de ce plan de restructuration sur la vie des trois constructeurs dans un avenir proche. Notamment pour Mitsubishi, dont les activités vont être recentrées là où il est le plus performant, c’est-à-dire en Océanie et en Asie du Sud-Est. Vu les faibles résultats de la marque en Europe, on pouvait même déduire que le japonais allait se retirer du Vieux Continent. Quelques jours après les annonces, il s’est pourtant empressé de rassurer son réseau, qui aurait alors obtenu des garanties. Mais d’après nos informations, l’histoire sera finalement tout autre.

Retirement logique

L’Europe a beau représenter environ 10 % des ventes de Mitsubishi en 2019 (1,1 million de véhicules dans le monde), les prochains Eclipse Cross et le Outlander hybride rechargeable ne seront en effet pas vendus chez nous. Une annonce surprenante et tardive qui signifie, à demi-mot, que le nippon ne devrait pas rester très longtemps sur le marché européen. Car l’Eclipse Cross, un SUV de 4,41 m de long présenté en 2017, était justement taillé pour le vieux continent, a fortiori avec une motorisation électrifiée. De même pour l’Outlander, qui compensait son manque de notoriété par des prestations satisfaisantes et une version “plug-in” sans trop de concurrence depuis 2015. La non-importation de ces deux modèles ne laisse que peu de doute pour la suite, car difficile de compter sur les ventes confidentielles de la citadine Space Star ou du pick-up L200.

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